SARAH BERNHARDT la divine

Paris, 1896. Sarah Bernhardt est au sommet de sa gloire. Immense tragédienne, dotée d’une voix envoûtante et d’un magnétisme rare, femme défendant ses convictions avec détermination, amoureuse libre et moderne, Sarah est une icône dévorant la vie, goûtant tous les plaisirs et savourant les interdits. Pour une telle héroïne, il fallait une actrice avec un brin de folie, énormément de talent et beaucoup de flamboyance :  Sandrine Kiberlain est tout ça et même plus ! Pour une telle héroïne il fallait renoncer au biopic académique et croquer d’un geste libre, à son image, un portait assumant le mensonge dans sa plus belle sincérité. Et c’est exactement ce que nous offre Guillaume Nicloux !